— Où diable sommes‐nous ?
Jean‐Baptiste Morange et Durivet, le condamné rescapé quitte Limoges pour rendre visite au père de ce dernier ; ils empruntent à cheval « une route étroite et tortueuse qui conduisait à Bellac, à travers les châtaigneraies et les collines sans fin de cette partie pittoresque du Limousin ».
Le soir tombe déjà et les pousse dans la plus proche auberge, alors qu’ils n’ont parcouru que « trois ou quatre lieues », « les clochers de Limoges [ayant ) disparu tout‐à‐fait derrière les voyageurs seulement depuis une heure ».